vendredi 27 novembre 2020

105. Le dossier SOUMAHORO : Pièce n° 2 (DDDD/1-S/2)

Quelques remarques sur les interventions médiatiques et académiques de la dame SOUMAHORO


Classement : sommités intellectuelles d'époque ; décononialisme




DDDD
Direction de la défense du deuxième degré
2, rue de l’Escalier-à-une-marche
06 Menton

Officier traitant : RJ (DDDD/06)

DOSSIER n° 1 : SOUMAHORO, Maboula (alias : Docteur Maboula)
Sexe : féminin
Née le : 3 février 1976
À : Paris
Nationalités : française ; ivoirienne
Études supérieures : anglais (Créteil, Jussieu, Columbia)
Emploi actuel : maître de conférences, Université de Tours
Grades universitaires : licence ; master ; doctorat (2008 ; Université de Tours)
Autres diplômes : CAPES d’anglais
Caractéristiques psychologiques : arrogante ; dominatrice et sûre d’elle-même ; de mauvaise foi ; certaine d’incarner la Justice ; méprise ses contradicteurs
Caractéristiques idéologiques : néo-antiracisme ; racialisme ; afroféminisme ; décononialisme ; indigénisme ; intersectionnalisme ; autres « –ismes » encore à déterminer.

Pièce n° 2
Référence du témoignage :
*« Médias, espace public : la liberté d’expression est-elle menacée ? », France Culture, Signes des temps, 24 novembre 2019 (lien)

Présentation :
Il s’agit de l’émission de Marc Weitzmann, le dimanche à 13 h 45. Le thème portait sur la cancel culture. Les invités étaient principalement Pierre JOURDE et Maboula SOUMAHORO, Hadrien MATHOUX (Marianne) et Céline PIQUES (« Osez le féminisme ! »). 
Sur la page Internet de l’émission, la dame SOUMAHORO est présentée comme « angliciste, maîtresse de conférence à l’Université de Tours, chercheuse en french diaspora studies » (ce que signifie French diaspora studies, France Culture ne jugeait pas utile de le préciser).

Témoignage concernant la dame SOUMAHORO, Maboula
Une page de ce blog est consacrée à cette émission. Elle est intitulée 
Docteur Maboula et Mister Jourde (lien).

Analyse de l'officier traitant (qui est aussi le témoin !)
Il s’agit d’un compte-rendu de l’émission, volontairement agrémenté d’éléments facétieux, dont le but est clairement de se moquer de la dame SOUMAHORO, à commencer par le surnom qui lui est attribué : « Docteur MABOULA », qui n’est pas sans évoquer le célèbre « Docteur Maboul ».
Pour être plus sérieux, on peut considérer que dans ce « débat », Pierre JOURDE n’a pas été laminé, mais on n’en était pas loin. Le pire moment est celui où, ayant dit (sans penser spécialement à son interlocutrice) que certains recrutements universitaires étaient « de connivence » dans la mouvance décoloniale-indigéniste, il a été sommé par la dame SOUMAHORO de prouver qu'il connaissait sa thèse (celle-ci étant supposée prouver qu'elle n'avait pas été recrutée par connivence). Il est alors clairement apparu que M. JOURDE n’en connaissait même pas le titre, de sorte qu’il s’est trouvé, dirait Rabelais, « un peu quinaud ». Il pouvait difficilement répondre qu’il n’est pas de coutume de chercher à savoir quelle est la thèse écrite par un docteur (et même une doctrice) avec qui on doit débattre de tout autre chose.
La façon de procéder de la dame SOUMAHORO a été, à ce moment comme pendant toute l’émission, tellement odieuse qu’elle ne s'est pas fait un ami de moi, ce qui m’a amené à écrire la page mentionnée plus haut. Sur le plan de l'argumentation, elle a soutenu mordicus deux arguments spécieux : il n'y a pas de censure associative car il n'est de censure que d'Etat ; les actes reprochés à des associations sont irréprochables, car fondés sur la Justice.
                                                                                                                Signature : RJ.

Notes
A venir



Création : 27 novembre 2020
Mise à jour :
Révision :
Auteur : Jacques Richard
Blog : Les Malheurs de Sophisme
Page : 118. Le dossier SOUMAHORO Pièce n° 2 (DDDD/1-S/2)
Lien : https://lesmalheursdesophisme.blogspot.com/2020/11/soumahoro-piece-2.html







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