Quelques remarques sur les énoncés post-soixante-huitards d’une « historienne » née après 1968
Classement : Ludivine Bantigny ; pseudo-historienne
Référence
* « Ludivine
Bantigny », Télérama n° 3647, 4 décembre
2019, page 6
L’auteur
Ludivine
Bantigny, née en 1975, est normalienne, agrégée d’histoire, maître de
conférences à l’université de Rouen et, surtout, révoltée.
Texte
Télérama n'hésite pas à mettre en valeur la phrase-choc (« le poids des mots ») de Bantigny :
Conseil de lecture
Il est possible que l'interview contienne des propos encore plus percutants. Chacun peut se reporter au numéro référencé de Télérama pour le savoir.
Analyse
(Inutile)
Commentaire
C’est
diablement intelligent tout cela !
On
pourrait intituler l’article : « De la violence ? Et cassœur ! ».
Conclusion
Est-il légitime de comparer les « gens qui s'engagent avec le corps » et les sans-culottes de 1789 ?
Ceux de 1789 n’ont pas détruit la Bastille qu’ils avaient
prise, mais ils ont mis la tête du gouverneur au bout d’une pique.
Ceux de 2019 ont pendu un mannequin de Macron au bout d’une
perche et détruit des abribus, avant de prendre le bus pour rentrer à la maison.
Création : 9 décembre 2019
Mise à jour :
Révision :
Auteur : Jacques Richard
Blog : Les Malheurs de Sophisme
Page : 74. La Révolution française et la violence selon Ludivine Bantigny
Lien : https://lesmalheursdesophisme.blogspot.com/2019/12/la-revolution-francaise-et-la-violence.html
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